The Green Hornet
Après un premier rendez vous manqué avec le frelon vert, Michel Gondry est finalement revenu sur sa décision et signe cette année l'adaptation d'une série courte mais culte qui en son temps révela un certain Bruce Lee aux états-unis. C'est l'occasion pour le cinéaste français de signer sa première grosse production hollywoodienne avec au scénario et devant la caméra l'inégalable Seth Rogen. Sur le papier The Green Hornet a vraiment tout d'un bon film.
Quand on pense à Michel Gondry on pense système Z et effets spéciaux cheap et pas forcément film à gros budget et effets numériques alors The Green Hornet n'a forcément pas le charme de ses réalisations antérieurs même si de temps à autre Gondry a fait de son mieux pour mettre sa touche personnelle dans le film. Le soucis c'est que malgré tout on a quand même plus l'impression de voir un film orchestré par Seth Rogen. L'acteur est partout, à l'écran, dans les dialogues très "geeks", dans l'esprit même du film et si souvent son humour fait mouche au bout d'un moment ça devient juste fatigant d'avoir l'impression de regarder le one-man show de Seth Rogen.
Le film n'en est pas moins sympathique. Le scénario est plutôt bon dans l'ensemble même si on retrouve des mécanismes assez classiques dans les premiers films de super-héros. Les personnages sont originaux même si comme je le disais l'intérpretation de Seth Rogen est un peu étouffante. Le vrai problème c'est que Jay Chou qui joue Kaito est complètement à côté de la plaque et débite son texte comme si il était en train de lire un prompteur. Vient enfin une Cameron Diaz, actrice que j'adore mais qui est ici cantonée au genre de rôle qu'elle arrive d'habitude a évité: celui de la potiche de service.
The Green Hornet est un bon blockbuster avec tout ce qu'on attend d'un film de ce type: de l'action, du rythme, un héro original et un peu d'humour mais entre ses acteurs pas toujours au top, un Seth Rogen omni présent devant et derrière la caméra et un Michel Gondry a l'inverse trop effacé je ne peux m'empêcher de penser que The Green Hornet aurait pu être plus qu'un blockbuster.
Quand on pense à Michel Gondry on pense système Z et effets spéciaux cheap et pas forcément film à gros budget et effets numériques alors The Green Hornet n'a forcément pas le charme de ses réalisations antérieurs même si de temps à autre Gondry a fait de son mieux pour mettre sa touche personnelle dans le film. Le soucis c'est que malgré tout on a quand même plus l'impression de voir un film orchestré par Seth Rogen. L'acteur est partout, à l'écran, dans les dialogues très "geeks", dans l'esprit même du film et si souvent son humour fait mouche au bout d'un moment ça devient juste fatigant d'avoir l'impression de regarder le one-man show de Seth Rogen.
Le film n'en est pas moins sympathique. Le scénario est plutôt bon dans l'ensemble même si on retrouve des mécanismes assez classiques dans les premiers films de super-héros. Les personnages sont originaux même si comme je le disais l'intérpretation de Seth Rogen est un peu étouffante. Le vrai problème c'est que Jay Chou qui joue Kaito est complètement à côté de la plaque et débite son texte comme si il était en train de lire un prompteur. Vient enfin une Cameron Diaz, actrice que j'adore mais qui est ici cantonée au genre de rôle qu'elle arrive d'habitude a évité: celui de la potiche de service.
The Green Hornet est un bon blockbuster avec tout ce qu'on attend d'un film de ce type: de l'action, du rythme, un héro original et un peu d'humour mais entre ses acteurs pas toujours au top, un Seth Rogen omni présent devant et derrière la caméra et un Michel Gondry a l'inverse trop effacé je ne peux m'empêcher de penser que The Green Hornet aurait pu être plus qu'un blockbuster.